Hyper-Spinoza
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Court traité de Dieu, de l’homme et de la santé de son âme.
Première partie : De Dieu
Deuxième partie : De l’homme et de ce qui lui appartient.
Appendice
Suppléments
Hyper-Ethique
I. Première Partie : "De Dieu" (Pars Prima : De Deo)
En Dieu (in deo) : Propositions 1 à 15
a - Des choses à Dieu
b - Dieu
A partir de Dieu ( a deo) : Propositions 16 à 36
a - La nature naturante
b - La nature naturée
La réalité modale du point de vue de l’infini : les modes infinis
La réalité modale du point de vue du fini
c - Identité de la nature naturante et de la nature naturée : nécessité absolue de l’action divine
Spontanéité de l’action divine, ni réfléchie, ni préméditée, ni décidée selon un choix arbitraire
Perfection absolue de l’action divine qui se déroule suivant sa nécessité intrinsèque
Appendice
Définitions et Axiomes
II. Deuxième Partie : "De la Nature et de l’Origine de l’Âme" (Pars secunda : De natura et origine mentis)
La nature de l’âme expliquée à partir de son origine, la pensée comme attribut de Dieu : Propositions 1 à 13
a - La pensée (et l’étendue)
b - L’intellect infini, effet de la puissance infinie de penser qui est en Dieu
c - L’ordre des idées
d - La production des idées proprement dites
e - L’âme humaine, idée du corps, chose singulière existant en acte
La nature du corps et celle du corps humain en particulier : Axiomes, Lemmes, Définitions et Postulats suivants la proposition 13 : sur la nature des corps
a - Des corps aux individus
Les corps les plus simples, déterminés par les seules lois du mouvement
Les corps composés : figures de l’individuation
b - Le corps humain
Ce que peut l’âme humaine en vertu de sa nature : les lois de son fonctionnement, les trois genres de connaissance : Propositions 14 à 47
a - La perception des choses extérieures et l’imagination, formes spontanées de la connaissance
Genèse et mécanismes de la perception qui produit seulement des représentations imaginaires
Les idées spontanées que nous formons des choses en les percevant par l’intermédiaire de représenations imaginaires sont toutes inadéquates
b - Vers la connaissance rationnelle : de l’erreur à la vérité
L’erreur
Les notions communes
Les genres de connaissance
La connaissance adéquate
L’intellect et la volonté : Propositions 48 et 49
Définitions et Axiomes
III. Troisième Partie : "De l’origine et de la nature des affects" (Pars tertia : De origine et natura affectuum)
Les bases naturelles de l’affectivité : Propositions 1 à 11
a - Activité et passivité
b - Le conatus
c - Les affects primaires
Le labyrinthe de la vie affective : Propositions 12 à 57
a - La fixation imaginaire du désir
b - La formation des complexes objectaux
c - Formation et développement des complexes interpersonnels
Le mimétisme affectif
Les jeux de l’amour et de la haine
Caractères généraux des complexes affectifs
Les affects actifs : Propositions 58 et 59
Définitions des affects
a - Définitions fondamentales : définitions 1 à 5
b - Affects qui naissent de la joie et de la tristesse : définitions 6 à 31
c - Affects rattachés au Désir : définitions 32 à 48
d - Définition générale des affects
Préface, Définitions et postulats
IV. Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects" (Pars quarta : De servitute humana, seu de affectuum viribus)
La condition humaine : Propositions 1 à 37
a - La servitude passionnelle
b - Le fondement naturel de la vertu (définie à partir de l’intérêt vital comme recherche de l’utile)
c - De l’utile propre à l’utile commun : genèse de la socialité
De la servitude à la liberté : Propositions 38 à 73
a - Typologie rationnelle des passions (en fonction de leur utilité, ou degré de joie et de tristesse qu’on peut en tirer)
b - Intervention de la raison dans le déroulement de la vie affective
c - La vie des hommes libres
Appendice (APPENDIX)
Préface, Définitions et Axiome
V. Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine" (Pars quinta : De potentia intellectus, seu de libertate humana)
Les remèdes aux affects : Propositions 1 à 20
a - Une thérapie psychophysiologique
b - Un nouvel art d’aimer : l’amour qui a Dieu pour objet (amor erga Deum)
La béatitude suprême : Propositions 21 à 42
a - La science intuitive et le point de vue de l’éternité
b - L’amour intellectuel de Dieu (amor intellectualis Dei)
c - La libération de l’âme
d - L’éthique au quotidien
Préface et axiomes
Hyper-Traité politique
Chapitre 01 - Introduction
Chapitre 02 - Le droit naturel
Chapitre 03 - Le droit des pouvoirs souverains
Chapitre 04 - Les affaires qui dépendent du gouvernement des pouvoirs souverains
Chapitre 05 - L’idéal suprême que toute société peut se proposer
Chapitre 06 - L’organisation qu’il faut donner au gouvernement monarchique pour qu’il ne dégénère pas en tyrannie
Chapitre 07 - Développement méthodique des principes d’organisation d’une monarchie
Chapitre 08 - L’aristocratie
Chapitre 09 - L’aristocratie (suite)
Chapitre 10 - L’aristocratie (fin)
Chapitre 11 - La démocratie
Chapitre 12 - La vie souriante
Lettres
Première correspondance avec Oldenburg (été 1661 - hiver 1665)
Correspondance avec Simon de Vries (Hiver 1663)
Correspondance avec Louis Meyer (Printemps été 1663)
Lettre à Balling sur les présages (été 1664).
Les lettres du mal : correspondance avec Blyenbergh (Hiver 1664-65)
Deux lettres à Jean Bouwmeester et une à Jean Van der Mer.
Trois Lettres à Monsieur Hudde (1666)
Les lettres à Jarig Jelles (mars 1667 à juin 1674).
Correspondance avec Jacob Osten et Lambert de Velthuysen.
Correspondance avec Leibniz (Automne 1671)
Correspondance avec Fabritius au sujet d’une chaire de philosophie offerte par l’Electeur Palatin (Hiver 1673).
Lettre à propos de la mort de Descartes (Hiver 1673)
La correspondance avec Hugo Boxel sur les apparitions, les spectres et les esprits (Automne 1674).
La correspondance avec Tschirnhaus et Schuller (automne 1674 - été 1676)
Seconde correspondance avec Oldenburg (printemps 1675 - hiver 1676)
La correspondance avec Albert Burgh (Automne et Hiver (?) 1675).
La dernière lettre, au sujet du Traité politique.
Principes de la philosophie de Descartes et Pensées métaphysiques
Les Principes de la Philosophie de Descartes
Première Partie
Définitions et Axiomes
Propositions
Axiomes pris de Descartes
Suite des Propositions
Deuxième Partie
Postulat, Définitions et Axiomes
Lemmes et Propositions
Troisième Partie
Préface, Postulat, Définitions et Axiomes
Propositions
Pensées métaphysiques
Partie I
Partie II
Téléchargements
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Traité de la réforme de l’entendement (et plan)
A. Le dessein (1 - 48)
I. La Fin (1 - 17)
Le Prologue : la découverte (1-11)
a - Introduction : l’expérience.
b - La nécessité d’un choix.
c - Les éléments du choix.
c1 - Le certain et l’incertain.
c2 - L’objet de l’adhésion.
d - Le choix.
Le bien et le souverain bien (12-13).
Plan de travail (14-16).
Règles de vie (17).
II. Le moyen (18-29).
Les modes de perception (18-24).
a - La question.
b - La distinction.
c - Des exemples.
d - Un exemple unique.
Le meilleur mode de perception (25-29).
a - Principes d’évaluation.
b - La valeur de chaque mode.
III. La Voie (30-48).
L’objection générale : l’aporie et sa solution (30-38).
a - Une méthode extrinsèque.
b - La certitude intrinsèque : Idée et Idée de l’idée.
c - Conséquences quant à la méthode.
d - Conclusion : La norme, la connaissance réflexive.
Conséquences philosophiques (38-42).
a - Le point de départ : L’Idée de l’Être le plus parfait.
b - Une connaissance plus grande, meilleure : se connaître soi-même.
c - Le système du savoir : le commerce des choses et la déduction.
Réponse à des objections (43-48).
a - Le recours à la démonstration.
a1 - Pour établir la forme du vrai dans ce qui précède.
a2 - Pour établir le vrai dans ce qui suivra.
b - Le scepticisme sur la première vérité.
IV. Pause : le PLAN général (49).
B. La méthode (50-110).
I. Distinction de l’idée vraie (50-90).
Préambule (50-51).
D’avec l’idée fictive (52-65).
a - Portant sur l’existence.
a1 - Introduction.
a2 - Au sujet du possible.
a3 - Digression : de l’existence particulière.
a4 - Dans la fabulation.
a5 - Dans les suppositions et les hypothèses.
b - Portant sur l’essence (avec ou sans existence).
b1 - Son élimination dans la connaissance.
b2 - Son élimination par la fiction.
b3 - Conséquences.
b31 - L’attention.
b32 - La clarté et la distinction, le simple et le composé.
c - Résumé.
D’avec l’idée fausse (66-76)
a - Définition et analyse.
b - La vérité.
b1 - Sa dénomination intrinsèque.
b2 - La puissance de l’entendement.
b3 - La définition générique.
b4 - L’adéquation.
c - De l’imagination et de l’abstraction ; la connaissance selon l’ordre de la nature.
D’avec l’idée douteuse (77-80).
a - Le doute.
b - L’indubitable.
c - L’ordre.
d - Premières conclusions.
d1 - La mémoire et l’oubli.
d2 - L’imagination et l’entendement.
d21 - L’imagination.
d22 - L’idée vraie de l’entendement.
d23 - Leur distinction et leur confusion.
d231 - A propos des mots.
d232 - Un autre effet de leur confusion.
II. Les règles à suivre (91-98).
Introduction.
La connaissance (92-93).
a - Par l’essence ou la cause prochaine.
b - Par l’essence particulière affirmative.
La définition (94-98)
a - La bonne définition et la parfaite.
b - La définition requise.
b1 - Pour une chose créée.
b2 - Pour une chose incréée.
c - De l’essence particulière affirmative.
III. L’ordre à suivre (99-110).
Ordre et fondement de la déduction (99-105).
a - La série des choses fixes et éternelles et leurs lois.
a1 - La question de l’expérience.
b - Le fondement de la déduction.
Les forces et la puissance de l’entendement. (106-110).
a - La question de l’entendement.
b - Le problème de sa définition.
c - Ses principales propriétés
d - Observation : Les autres choses de la pensée.
e - Retour à la question de sa définition.
Traité théologico-politique
Chapitre I : De la Prophétie.
Chapitre II : Des Prophètes.
Chapitre III : De la vocation des Hébreux et si le don prophétique fut particulier aux Hébreux.
Chapitre IV : De la loi divine
Chapitre V : De la raison pour laquelle des cérémonies ont été instituées et de la foi aux histoires ; pour quelle raison et à quels hommes elle est nécessaire.
Chapitre VI : Des Miracles.
Chapitre VII : De l’interprétation de l’Ecriture.
Chapitre VIII : Dans lequel on fait voir que le Pentateuque et les livres de Josué, des Juges, de Ruth, de Samuel et des Rois ne sont pas authentiques ; après quoi l’on recherche si ces livres ont été écrits par plusieurs personnes ou par une seule.
CHAPITRE IX : Autres recherches sur les mêmes Livres ; si en particulier Esdras y mit la dernière main et ensuite si les notes marginales qui se trouvent dans les manuscrits hébreux, sont des leçons différentes.
CHAPITRE X : Où les autres Livres de l’Ancien Testament sont examinés de même manière.
CHAPITRE XI : Où l’on se demande si les Apôtres ont écrit leurs Épîtres en qualité d’Apôtres et de Prophètes ou en qualité de Docteurs. Après quoi l’on montre quel a été l’office des Apôtres.
CHAPITRE XII : De la véritable charte de la Loi Divine ; pour quelle raison l’Écriture est dite Sacrée et est appelée la Parole de Dieu ; que l’Écriture enfin, en tant qu’elle contient la Parole de Dieu, nous est parvenue sans corruption.
CHAPITRE XIII : Montrant que l’Écriture ne contient que des enseignements très simples et ne tend à autre chose qu’à l’obéissance ; que de plus elle n’enseigne sur la nature divine que ce que les hommes peuvent en imiter en vivant suivant une certaine règle.
CHAPITRE XIV : Ce qu’est la Foi ; quels hommes sont des fidèles ; détermination des fondements de la Foi ; enfin séparation de la Foi et de la Philosophie.
CHAPITRE XV : Où il est montré que ni la Théologie n’est la servante de la Raison, ni la Raison de la Théologie ; raison par laquelle nous nous persuadons de l’autorité de l’Écriture Sacrée.
CHAPITRE XVI : Des Fondements de l’État ; du Droit tant naturel que Civil de l’individu ; et du Droit du Souverain.
CHAPITRE XVII : Où l’on montre que nul ne peut transférer en totalité ce qui lui appartient au Souverain et que ce transfert n’est pas nécessaire. De l’État des Hébreux : quel il fut du vivant de Moïse, quel après sa mort, et de son excellence ; enfin des causes pour quoi l’État régi par Dieu a péri et, durant son existence, n’a presque jamais été libre de séditions.
CHAPITRE XVIII : De l’État des Hébreux et de leur histoire sont conclus quelques dogmes politiques.
CHAPITRE XIX : Où l’on montre que le droit de régler les choses sacrées appartient entièrement au Souverain et que, si nous voulons obéir à Dieu, le culte religieux extérieur doit se régler sur la paix de l’État.
CHAPITRE XX : Où l’on montre que dans un État libre il est loisible à chacun de penser ce qu’il veut et de dire ce qu’il pense.
Annotations marginales
Préface.
Brunschvicg, Léon
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