L’effort d’un être pour se conserver est le premier et unique fondement de la vertu. Car aucun autre principe n’est antérieur à celui-là (par la Propos. précéd.), et sans lui (par la Propos. 21) aucune vertu ne se peut concevoir.
L’effort d’un être pour se conserver est le premier et unique fondement de la vertu. Car aucun autre principe n’est antérieur à celui-là (par la Propos. précéd.), et sans lui (par la Propos. 21) aucune vertu ne se peut concevoir.