« Quelle richesse, quelle variété, cache à notre insu cette grande nuit impénétrable et décourageante de notre âme que nous prenons pour du vide et pour du néant » (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, Deuxième partie : Un amour de Swann, Folio, p.405).
« (...) on se décida à concevoir le monde réel - la nature et l’histoire - tel qu’il se présente lui-même à quiconque l’aborde sans lubies idéalistes préconçues ; on se décida à sacrifier impitoyablement toute lubie idéaliste impossible à concilier avec les faits considérés dans leurs propres rapports et non dans des rapports fantastiques. Et le matérialisme ne signifie vraiment rien de plus. »
(Engels, Feuerbach et la fin de la philosophie classique allemande,
in Œuvres choisies, Éditions sociales, t.3, (...)
"La linguistique, de toute façon, méconnaît une part essentielle de la parole : la musique des phrases, le rythme des corps, l’imprévu des mimiques, la danse des gestes" (Max Dorra, Quelle petite phrase bouleversante au coeur d’un être, Gallimard, 2005, p. 88).
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