EII - Proposition 18 ; EII - Proposition 40 - scolie 2.
EV - Proposition 11.
EV - Proposition 11
Nous unissons plus facilement les images des choses avec les images qui se rapportent aux objets que nous concevons clairement et distinctement qu’avec toute autre sorte d’images. Démonstration
Les objets que nous concevons clairement et distinctement, ce sont les propriétés générales des choses, ou ce qui se déduit de ces propriétés (voyez la Défin. de la raison dans le Scol. 2 de (…)
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Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
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EV - Proposition 12
3 juillet 2004, par Spinoza, Baruch -
EV - Proposition 11
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 8.
EV - Proposition 10 - scolie
A mesure qu’une image se rapporte à un plus grand nombre de choses, elle revient plus fréquemment à l’esprit : en d’autres termes, elle se réveille plus souvent dans l’âme et l’occupe davantage. Démonstration
A mesure, en effet, qu’une image ou qu’une passion a rapport à plus d’objets, il y a plus de causes capable de l’exciter ou de l’entretenir, et toutes ces causes, l’âme (en vertu de l’hypothèse) les aperçoit par cela seul (…) -
EV - Proposition 10 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 18.
EIII - Proposition 59.
EIV - Proposition 46 (et EIV - Proposition 46 - scolie) ; EIV - Proposition 52 ; EIV - Proposition 63 - corollaire.
EV - Proposition 6 ; EV - Proposition 7 ; EV - Proposition 8.
Ce pouvoir d’ordonner et d’enchaîner nos affections corporelles suivant la droite raison nous rend capables de nous soustraire aisément à l’influence des mauvaises passions ; car (par la Propos. 7) pour empêcher des affections ordonnées et enchaînées suivant la (…) -
EV - Proposition 10
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 40 - scolie 2 ; EII - Proporition 47 - scolie.
EIV - Proposition 26 ; EIV - Proposition 27 ; EIV - Proposition 30.
EV - Proposition 1.
EV - Proposition 9
Tant que notre âme n’est pas livrée au conflit des passions contraires à notre nature, nous avons la puissance d’ordonner et d’enchaîner les affections de notre corps suivant l’ordre de l’entendement. Démonstration
Les passions contraires à notre nature, c’est-à-dire (par la Propos. 30, part. 4) les (…) -
EV - Proposition 9
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 11.
EIII - Proposition 7 ; EIII - Proposition 48.
EIV - Proposition 26 ; EIV - Proposition 27.
Une affection qui se rapporte à plusieurs causes diverses que l’âme aperçoit en même temps que l’affection elle-même est moins nuisible qu’une affection de même force, mais qui se rapporte à un petit nombre de causes ou à une seule ; l’âme en pâtit moins, et elle est moins affectés par chacune de ces causes diverses qu’elle ne le serait par une cause unique ou par un (…) -
EV - Proposition 8 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Axiome 2.
EV - Proposition 8
Cette proposition résulte également de l’Ax. 2 de cette cinquième partie.
EV - Proposition 9 -
EV - Proposition 8
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 7.
EIV - Proposition 5.
EV - Proposition 7
Une passion est d’autant plus grande qu’elle est excitée par un plus grand nombre de causes qui concourent ensemble au même but. Démonstration
Un grand nombre de causes peuvent plus ensemble qu’un petit nombre (par la Propos. 7, part. 3) ; et en conséquence (par la Propos. 5, part. 4), une passion est d’autant plus grande qu’elle est excitée tout à la fois par un plus grand nombre de causes. C. Q. F. D.
EV - (…) -
EV - Proposition 7
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 17 ; EII - Proposition 38 ; EII - Proposition 40 - scolie 2.
EIV - Proposition 6 ; EIV - Proposition 9.
EV - Axiome 1.
Les passions qui proviennent de la raison ou qui sont excitées par elle sont plus puissantes, si l’on a égard au temps, que celles qui se rapportent aux objets particuliers que nous considérons comme absents.
Démonstration
Ce qui nous fait considérer une chose comme absente, ce n’est point l’impression dont nous affecte son image, c’est une (…) -
EV - Proposition 6 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 6
A mesure que cette connaissance que nous avons de la nécessité des choses s’applique davantage à ces objets particuliers que nous imaginons de la façon la plus distincte et la plus vraie, la puissance de l’âme sur ses passions prend de l’accroissement ; c’est une loi confirmée par l’expérience. Nous voyons en effet que la tristesse qu’un bien perdu nous fait éprouver s’adoucit aussitôt que l’on vient à considérer qu’il n’y avait aucun moyen de conserver ce qui nous (…) -
EV - Proposition 6
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 28 ; EI - Proposition 29.
EIII - Proposition 48.
EV - Proposition 5.
EV - Proposition 5
En tant que l’âme conçoit toutes choses comme nécessaires, elle a sur ses passions une plus grande puissance : en d’autres termes, elle est moins sujette a pâtir. Démonstration
L’âme comprend que toutes choses sont nécessaires (par la Propos. 29, part. l), et qu’elles sont déterminées à l’existence et à l’action par l’enchaînement infini des causes (par la Propos. 28, (…)