EII - Proposition 43.
EIII - Définitions des affects - 02 ; EIII - Définitions des affects - 25.
EIV - Proposition 28.
EV - Proposition 24 ; EV - Proposition 25.
EV - Proposition 26
De ce troisième genre de connaissance naît pour l’âme le plus parfait repos dont elle puisse jouir. Démonstration
La suprême vertu de l’âme, c’est de connaître Dieu (par la Propos. 28, part. 4), en d’autres termes, de connaître les choses d’une connaissance du troisième genre (par la Propos. (…)
Accueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
Retrouvez maintenant l’HyperSpinoza ici :
HyperSpinoza
-
EV - Proposition 27
3 juillet 2004, par Spinoza, Baruch -
EV - Proposition 26
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définitions des affects - 01.
EV - Proposition 25
Plus l’âme est propre à connaître les choses d’une connaissance du troisième genre, plus elle désire les connaître de cette même façon. Démonstration
La chose est évidente ; car en tant que nous concevons l’âme comme propre à connaître les choses d’une connaissance du troisième genre, nous la concevons en même temps comme y étant déterminée, et par conséquent (Par la Déf. 1 des passions), plus l’âme est propre à ce genre de (…) -
EV - Proposition 25
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 40 - scolie 2.
EIII - Proposition 7.
EIV - Définition 8 ; EIV - Proposition 28.
EV - Proposition 24.
EV - Proposition 24
L’effort suprême de l’âme et la suprême vertu, c’est de connaître les choses d’une connaissance du troisième genre. Démonstration
La connaissance du troisième genre va de l’idée adéquate d’un certain nombre d’attributs de Dieu à la connaissance adéquate de l’essence des choses (voyez la Déf. renfermée dans le Scol. 2 de la Propos. 40, (…) -
EV - Proposition 24
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 25 - corollaire.
EV - Proposition 23 - scolie
Plus nous comprenons les choses particulières, et plus nous comprenons Dieu. Démonstration
Cela est évident par le Coroll. de la Propos. 25, part. 1.
EV - Proposition 25 -
EV - Proposition 23 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchCette idée qui exprime l’essence du corps sous le caractère de l’éternité est, comme nous l’avons dit, un mode déterminé de la pensée qui se rapporte à l’essence de l’âme et qui est nécessairement éternel. Et cependant il est impossible que nous nous souvenions d’avoir existé avant le corps, puisque aucune trace de cette existence ne se peut rencontrer dans le corps, et que l’éternité ne peut se mesurer par le temps, ni avoir avec le temps aucune relation. Et cependant nous sentons, nous (…)
-
EV - Proposition 23
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 8 - corollaire ; EII - Proposition 13.
EV - Proposition 22.
EV - Proposition 22
L’âme humaine ne peut entièrement périr avec le corps ; il reste quelque chose d’elle, quelque chose d’éternel. Démonstration
Il y a nécessairement en Dieu (par la Propos. précéd.) un concept ou une idée qui exprime l’essence du corps humain, et cette idée, par conséquent, est nécessairement quelque chose qui se rapporte à l’essence de l’âme (en vertu de la Propos. 13, part. 2). (…) -
EV - Proposition 22
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Axiome 4 ; EI - Proposition 16 ; EI - Proposition 25.
EII - Proposition 3.
EV - Proposition 21
Toutefois, il y a nécessairement en Dieu une idée qui exprime l’essence de tel ou tel corps humain sous le caractère de l’éternité. Démonstration
Dieu n’est pas seulement la cause de l’existence de tel ou tel corps humain, il l’est aussi de son essence (par la Propos. 25, part. 1), laquelle doit en conséquence être conçue nécessairement par l’essence même de Dieu (par l’axiome 4, (…) -
EV - Proposition 21
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 8 - corollaire ; EII - Proposition 17 - scolie ; EII - Proposition 18 - scolie ; EII - Proposition 26.
EV - Proposition 20 - scolie
L’âme ne peut rien imaginer, ni se souvenir d’aucune chose passée, qu’à condition que le corps continue d’exister. Démonstration
L’âme n’exprime l’existence actuelle du corps et ne conçoit les affections du corps comme actuelles qu’à condition que le corps continue d’exister (par le Coroll. de la Propos. 8, part. 2) ; et en (…) -
EV - Proposition 20 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 45 ; EII - Proporition 47 - scolie.
EIII - Proposition 1 ; EIII - Proposition 3.
EIV - Proposition 5.
EV - Proposition 2 ; EV - Proposition 3 ; EV - Proposition 4 - scolie ; EV - Proposition 7 ; EV - Proposition 9 ; EV - Proposition 10 - scolie ; EV - Proposition 11 ; EV - Proposition 12 ; EV - Proposition 13 ; EV - Proposition 14 ; EV - Proposition 15 ; EV - Proposition 16.
Nous pouvons faire voir de la même manière qu’il n’y a aucune passion directement (…) -
EV - Proposition 20
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 31 ; EIII - Proposition 35 - scolie ; EIII - Définitions des affects - 23.
EIV - Proposition 28 ; EIV - Proposition 36 ; EIV - Proposition 37.
EV - Proposition 18.
EV - Proposition 19
Cet amour de Dieu ne peut être souillé par aucun sentiment d’envie ni de jalousie, et il est entretenu en nous avec d’autant plus de force que nous nous représentons un plus grand nombre d’hommes comme unis avec Dieu de ce même lien d’amour. Démonstration
Cet amour de Dieu est (…)