EIII - Proposition 19 ; EIII - Proposition 28.
EV - Proposition 17 - corollaire.
EV - Proposition 18 - scolie
Celui qui aime Dieu ne peut faire effort pour que Dieu l’aime à son tour. Démonstration
Si l’homme faisait un tel effort, il désirerait donc (par le Coroll. de la Propos. 17) que ce Dieu qu’il aime ne fût pas Dieu, et en conséquence (par la Propos. 19, part. 3), il désirerait être contristé, ce qui est absurde (par la Propos. 28, part. 3). Donc celui qui aime Dieu, etc. (…)
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Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
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HyperSpinoza
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EV - Proposition 19
3 juillet 2004, par Spinoza, Baruch -
EV - Proposition 18 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 59.
EV - Proposition 3.
EV - Proposition 18 - corollaire
On peut objecter cependant qu’en concevant Dieu comme cause de toutes choses, nous le considérons comme cause de la tristesse. Je réponds que la tristesse, en tant que nous en concevons les causes, cesse d’être une passion (par la Propos. 3) ; en d’autres termes (par la Propos. 59, part. 3) elle cesse d’être la tristesse ; d’ou il suit qu’en tant que nous concevons Dieu comme cause de la tristesse, nous (…) -
EV - Proposition 18 - corollaire
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 18
L’amour que nous avons pour Dieu ne peut se changer en haine.
EV - Proposition 18 - scolie -
EV - Proposition 18
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 46 ; EII - Proposition 47.
EIII - Proposition 3 ; EIII - Proposition 59 ; EIII - Définitions des affects - 07.
EV - Proposition 17 - corollaire
Personne ne peut haïr Dieu. Démonstration
L’idée de Dieu, qui est en nous, est adéquate et parfaite (par la Propos. 46 et 47, part. 2). En conséquence, en tant que nous contemplons Dieu, nous agissons (par la Propos. 3, part. 3), et partant (par la Propos. 59, part. 3) il est impossible qu’il y ait en nous un sentiment (…) -
EV - Proposition 17 - corollaire
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définitions des affects - 06 ; EIII - Définitions des affects - 07.
EV - Proposition 17.
EV - Proposition 17
Dieu, à parler proprement, n’aime ni ne hait personne. Car Dieu (par la Propos. précéd.) n’éprouve aucune affection de joie ou de tristesse, et en conséquence (par la Défin. 6 et 7 des passions) il n’a pour personne ni haine ni amour.
EV - Proposition 18 -
EV - Proposition 17
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 20 - corollaire 2.
EII - Définition 4 ; EII - Proposition 32.
EIII - Définitions des affects - 02 ; EIII - Définitions des affects - 03 ; Ethique III - Définition générale des affects.
EV - Proposition 16
Dieu est exempt de toute passion, et il n’est sujet à aucune affection de joie ou de tristesse. Démonstration
Toutes les idées, en tant qu’elles se rapportent à Dieu, sont vraies (par la Propos. 32, part. 2), c’est-à-dire (par la Défin. 4, part. 2) (…) -
EV - Proposition 16
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 11 ; EV - Proposition 14 ; EV - Proposition 15.
EV - Proposition 15
Cet amour de Dieu doit occuper l’âme plus que tout le reste. Démonstration
Cet amour en effet est joint à toutes les affections du corps (par la Propos. 14), qui toutes servent à l’entretenir (par la Propos. 15), et conséquemment (par la Propos. 11) il doit occuper l’âme plus que tout le reste. C. Q. F. D.
EV - Proposition 17 -
EV - Proposition 15
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 53 ; EIII - Définitions des affects - 06.
EV - Proposition 14.
EV - Proposition 14
Celui qui comprend ses passions et soi-même clairement et distinctement aime Dieu, et il aime d’autant plus qu’il comprend ses passions et soi-même d’une façon plus claire et plus distincte. Démonstration
Celui qui comprend ses passions et soi-même d’une façon claire et distincte ressent de la joie (par la Propos. 53, part. 3), et cette joie est accompagnée de l’idée de Dieu (…) -
EV - Proposition 14
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 15.
EV - Proposition 4.
EV - Proposition 13
L’âme peut faire que toutes les affections du corps, c’est-à-dire que toutes les images des choses se rapportent à l’idée de Dieu. Démonstration
Il n’est aucune affection du corps dont l’âme ne puisse se former un concept clair et distinct (par la Propos. 4), et en conséquence, l’âme peut faire (par la Propos. 15, part. 1) que toutes ces affections se rapportent à l’idée de Dieu. C. Q. F. D.
EV - Proposition 15 -
EV - Proposition 13
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 18.
EII - Proposition 16 - corollaire 1
A mesure qu’une image est jointe à un plus grand nombre d’autres images, elle se réveille plus souvent dans notre âme. Démonstration
A mesure en effet qu’une image est jointe à un plus grand nombre d’images, il y a un plus grand nombre de causes capables de l’exciter (par la Propos. 18, part. 2). C. Q. F. D.
EV - Proposition 14