EI - Proposition 25 - corollaire
Les choses particulières ne sont rien si ce n’est des affections des attributs de Dieu, autrement dit des modes, par lesquels les attributs de Dieu, sont exprimés d’une manière certaine et déterminée. Cela est démontré clairement par la Proposition 15 et la Définition 5. [*]
Res particulares nihil sunt nisi Dei attributorum affectiones sive modi quibus Dei attributa certo et determinato modo exprimuntur. Demonstratio patet ex propositione 15 et definitione 5.
EI - Proposition 28 ; EI - Proposition 36.
EII - Définition 1 ; EII - Proposition 1 ; EII - Proposition 2 ; EII - Proposition 5 ; EII - Proposition 10 - corollaire.
[*] (Saisset) : Les choses particulières ne sont rien de plus que les affections des attributs de Dieu, c’est-à-dire les modes par lesquels les attributs de Dieu s’expriment d’une façon déterminée. Cela est évident par la Propos. 15 et la Déf. 5.