Analyse de la lettre à Ménécée

Articles

7 novembre 2005

IV. La philosophie comme exercice.

1. La prudence.
Or, le principe de tout cela et par conséquent le plus grand des biens, c’est la prudence. Il faut donc la mettre au-dessus de la philosophie même, puisqu’elle est faite pour être la source de toutes les vertus, en nous (…)

7 novembre 2005

III. Le soin du corps et de l’âme : désirs et plaisirs

1. Classification des désirs.
Il faut se rendre compte que parmi nos désirs les uns sont naturels, les autres vains, et que, parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires et les autres naturels seulement. Parmi les désirs nécessaires, (…)

7 novembre 2005

II. La santé de l’âme : combattre le trouble de la pensée.

1. La pensée des dieux.
Commence par te persuader qu’un dieu est un vivant immortel et bienheureux, te conformant en cela à la notion commune qui en est tracée en nous. N’attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec l’immortalité (…)

7 novembre 2005

I. Prologue

Épicure à Ménécée, salut.
(122) Quand on est jeune il ne faut pas remettre à philosopher, et quand on est vieux il ne faut pas se lasser de philosopher. Car jamais il n’est trop tôt ou trop tard pour travailler à la santé de l’âme. Or celui qui (…)