Contrairement au doux illuminé, le fanatique est prêt, pour imposer sa loi, à tuer et à sacrifier sa propre vie. Sa foi dans son dieu, son parti, son chef, sa patrie, sa famille (la vendetta ne relève-t-elle pas du fanatisme ?) est exclusive ; en même temps qu’elle est quête d’un absolu, elle est corsetée dans la certitude d’avoir raison, l’imperméabilité à tout raisonnement critique et ne peut s’accomplir que par la destruction (ou la conversion) de celui qui pense différemment. Rien d’étonnant, donc, à (...)
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Dernière mise à jour : mardi 31 janvier 2023