Caute@lautre.netAccueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Troisième Partie : "De l’origine et de la nature des affects" > EIII - Proposition 47
EIII - Proposition 47
lundi 17 mai 2004, par
La joie qui provient de ce que nous imaginons que l’objet détesté est détruit ou altéré de quelque façon n’est jamais sans mélange de tristesse.
Démonstration
Cela est évident par la Propos. 27, car en tant que nous imaginons qu’un objet qui nous est semblable est dans la tristesse, nous sommes nous mêmes contristés.
