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Articles

  • Dans la maladie - Mars 2009

    Vois : Lettre d’Épicure à Idoménée.
    Dans ma maladie, mes entretiens ne portaient jamais sur les souffrances demon pauvre corps ; je n’en parlais jamais à ceux qui venaient me voir. Mais je continuais à m’occuper des principes ayant trait aux questions naturelles, cherchant surtout à savoir comment la pensée, tout en se ressentant ds commotions du corps, reste exempte de trouble et conserve le bien qui lui est propre. Je ne fournissais pas non plus uax médecins une occasion de se flatter d’un (...)

  • Lettre à sa mère - Janvier 2006

    Ces fragments d’une lettre à la mère d’Épicure sont habituellement reconnus comme étant soit d’Épicure lui-même, soit une adaptation de cette lettre... soit encore une lettre inauthentique. Ils constituent les fragments 125 et 126 de l’inscription de Diogène d’Oenoanda selon l’édition Smith (1993). Trad. Etienne et O’Meara, La philosophie épicurienne sur pierre, Ed. Univ. Frib. Et Ed. du Cerf, 1996.
    (Fr125) Car les [images] des absents [...]. [Mais si tu] examines [avec précision la chose, tu apprendras (...)

  • Lettre d’Épicure à un ami inconnu sur la religion. - Novembre 2005

    Papyrus d’Oxyrhynchos, II, 215 : Diels, « Ein Epikureisches Fragment über Götterverehrung », in Sitzungsberichte der königlichen Akademie des Wissenschaften von Berlin, 37, 1916, p.885-909 (trad. Festugière, Épicure et ses dieux, PUF, 1946, Quadrige, 1997, p. 99-100). L’attribution de cette lettre à Epicure est incertaine. Elle serait plutôt due à l’épicurien Zénon de Sidon.
    Il n’y a point piété quand on observe les obligations religieuses habituelles - bien que l’offrande de sacrifices aux occasions (...)

  • Lettre d’Épicure à Idoménée - Novembre 2005

    Diogène Laërce, Vie, doctrine et sentences des philosophes illustres, Livre X, 22 (trad. Genaille). Cette lettre est la dernière d’Épicure, écrite « au moment même de sa mort » (D.L.).
    C’est à l’heureux et dernier jour de ma vie que je t’écris cette lettre. Mes intestins et ma vessie me causent une souffrance inexprimable. Mais pour compenser toutes ces douleurs, je puise une grande joie dans le souvenir qui restera de mes ouvrages et de mes discours. Je vous demande, au nom de votre sympathie pour moi (...)

  • Le testament d’Épicure - Novembre 2005

    Diogène Laërce, Vie, doctrine et sentences des philosophes illustres, Livre X, 16-21 (trad. Genaille).
    Par ce testament, je donne tous mes biens à Amynomaque de Batté, fils de Philocrate, et à Timocrate de Potamos, fils de Démétrios, selon la donation faite à chacun et inscrite dans le Métroon, aux conditions suivantes : ils donneront le jardin et les biens y attenant à Hermarque de Mytilène, fils d’Agémarque, à ceux qui philosophent avec lui, et à ceux qu’Hermarque pourra choisir comme ses successeurs (...)

  • Lettre à un petit garçon. - Novembre 2005

    Cette lettre date d’un voyage à Lampsaque sur l’Hellespont, où vécu Épicure avant son établissement à Athènes durant l’été 306.
    Nous voici arrivés à Lampsaque sains et saufs, moi et Pytoclès, Hermaque et Ctésippe, et avons trouvé là Thémista et les autres amis en bonne santé. J’espère que vous allez bien vous aussi, toi et ta maman, et que tu es toujours bien obéissant à papa et à Matrôn [1], comme auparavant. Sois-en sûr, (N)apia, nous t’aimons tendrement [2], moi et les autres, parce que tu leur obéis en toutes (...)