• « Nous appelons dispars le sombre précurseur qui met en rapport les séries hétérogènes et disparates. (…) [Le dispars est] différentiel et discordantiel. » (Gilles Deleuze, Différence et répétition, Ed. P.U.F., 1968, p. 187 et p. 265.)
  • « Le dispars est tout à la fois (…) un point de contact ou d’indiscernabilité, distingué dans un brouillard de « voisinage » ou « d’extrême contiguïté », et sur le bord duquel, car il est aussi une profonde faille, « fourmillent » (au sens de la fourmilière) de petites différences (Gilles Deleuze, Différence et répétition, Ed. P.U.F., 1968, p. 330). » (Arnaud villani, « Dispars », in Le vocabulaire de Gilles Deleuze (sous la dir. Robert Sasso et Arnaud Villani), Les Cahiers de Noesis n° 3, Printemps 2003, p. 125.)