EII - Proposition 13 - (Postulat 2)

Entre les individus dont le corps humain est composé, quelques-uns sont fluides, d’autres mous, d’autres enfin sont durs.
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Entre les individus dont le corps humain est composé, quelques-uns sont fluides, d’autres mous, d’autres enfin sont durs.
EII - Proposition 6
Il suit de là que l’être formel de cette sorte de choses qui ne sont pas des modes de la pensée ne découle pas de la nature divine en vertu d’une connaissance antérieure qu’elle a eue de ces choses ; mais les objets des (…)
EII - Proposition 6 - corollaire
L’ordre et la connexion des idées est le même que l’ordre et la connexion des choses. Démonstration
Cela résulte évidemment de l’Axiome 4, partie 1 ; car l’idée d’une chose causée, quelle qu’elle soit, (…)
EII - Proposition 7
Il suit de là que la puissance de penser est égale en Dieu à sa puissance actuelle d’agir. En d’autres termes, tout ce qui suit formellement de l’infinie nature de Dieu, suit objectivement de l’idée de Dieu dans le même (…)
Avant d’aller plus loin, il faut ici se remettre en mémoire ce que nous avons montré plus haut, c’est à savoir que tout ce qui peut être perçu par une intelligence infinie, comme constituant l’essence de la substance, tout cela appartient à une (…)
EII - Proposition 7 - scolie
Les idées des choses particulières (ou modes) qui n’existent pas doivent être comprises dans l’idée infinie de Dieu, comme sont contenues dans ses attributs les essences formelles de ces choses. Démonstration (…)
Il suit de là qu’aussi longtemps que les choses particulières n’existent qu’en tant qu’elles sont comprises dans les attributs de Dieu, leur être objectif, c’est-à-dire les idées de ces choses n’existent qu’en tant qu’existe l’idée infinie de (…)
Si quelqu’un désire que je prenne ici un exemple pour que la chose devienne plus claire, j’avoue que je n’en puis fournir aucun qui en donne une explication adéquate, car c’est une chose unique en son espèce ; je vais tâcher pourtant de (…)
L’idée d’une chose particulière et qui existe en acte a pour cause Dieu, non pas en tant qu’il est infini, mais en tant qu’on le considère comme affecté de l’idée d’une autre chose particulière et qui existe en acte, idée dont Dieu est également (…)
Tout ce qui arrive dans l’objet particulier d’une idée quelconque, Dieu en a la connaissance, en tant que seulement qu’il a l’idée de cet objet.
Démonstration
Tout ce qui arrive dans l’objet particulier d’une idée quelconque, Dieu en a l’idée (…)
L’être de la substance n’appartient pas à l’essence de l’homme ; en d’autres termes, ce n’est pas la substance qui constitue la forme ou l’essence de l’homme.
Démonstration
L’être de la substance enveloppe, en effet, l’existence nécessaire (…)