La miséricorde, c’est l’amour en tant qu’il dispose l’homme à se réjouir du bien d’autrui et à s’attrister de son malheur.
Voyez sur l’envie le Scol. de la Propos. 24, et le Scol. de la Propos. 32. Les diverses affections de joie et de tristesse que je viens de définir sont toutes accompagnées de l’idée d’une chose extérieure, comme cause immédiate ou accidentelle. Je passe maintenant à des affections accompagnées de l’idée d’une chose intérieure comme cause.
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