Leibniz
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« 64. Ainsi chaque corps organique d’un vivant est une espèce de machine divine, ou d’un automate naturel, qui surpasse infiniment tous les automates artificiels. Parce qu’une machine faite par l’art de l’homme n’est pas une machine dans chacune (…)
« Y a-t-il dans les animaux quelque substance incorporelle qu’on puisse appeler âme sensitive ? On doit le rechercher expérimentalement, car c’est une question de fait. Il est certain cependant, si je ne me trompe, que Dieu aurait pu créer (…)
PHILALÈTHE. Si on demande outre cela ce que c’est qui excite le désir, nous répondons que c’est le bonheur et rien autre chose. Le bonheur et la misère sont des noms de deux extrémités dont les dernières bornes nous sont inconnues. C’est ce que (…)
Leibniz répond ici au texte suivant de Locke : La conscience seule constitue le soi.
Je ne voudrais point dire non plus que l’identité personnelle et même le soi ne demeurent point en nous et que je ne suis point ce moi qui ai été dans le (…)
Dans les Nouveaux essais sur l’entendement humain, Leibniz propose un dialogue fictif entre Philalèthe (qui présente les thèses du philosophe anglais John Locke dans son Essai concernant l’entendement humain) et Théophile par lequel Leibniz (…)