Marx (et Engels)

Articles

20 septembre 2011

Les effets de la mécanisation du travail

Le point de départ de la grande industrie est le moyen de travail qui une fois révolutionné revêt sa forme la plus développée dans le système mécanique de la fabrique. Avant d’examiner de quelle façon le matériel humain y est incorporé, il (…)

1er janvier 2009

Liens sur Marx

ACTUEL MARX
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Marxistes

30 août 2006

L’homme est rendu étranger à l’homme

L’homme est un être générique . Non seulement parce que, sur le plan pratique et théorique, il fait du genre, tant du sien propre que de celui des autres choses, son objet, mais encore - et ceci n’est qu’une autre façon d’exprimer la même chose - (…)

7 octobre 2004

L’aliénation du travail

Or, en quoi consiste l’aliénation du travail ?
D’abord, dans le fait que le travail est extérieur à l’ouvrier, c’est-à-dire qu’il n’appartient pas à son essence, que donc, dans son travail, celui-ci ne s’affirme pas mais se nie, ne se sent pas (…)

3 octobre 2004

Le poids de la tradition

Lis : Lettre à Joseph Bloch sur le matérialisme historique.
« Les hommes font leur propre histoire, mais ils ne la font pas arbitrairement, dans les conditions choisies par eux, mais dans des conditions directement données et héritées du (…)

28 septembre 2004

Le surtravail

Nous avons vu que l’ouvrier, pendant une partie du temps qu’exige une opération productive donnée, ne produit que la valeur de sa force de travail, c’est-à-dire la valeur des subsistances nécessaires à son entretien. Le milieu dans lequel il (…)

28 septembre 2004

Le salaire

Prenons le premier ouvrier venu, par exemple, un tisserand. Le capitaliste lui fournit le métier à tisser et le fil. Le tisserand se met au travail et le fil devient de la toile. Le capitaliste s’approprie la toile et la vend 20 marks par (…)

15 août 2003

L’abeille et l’architecte

Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature. L’homme y joue lui-même vis-à-vis de la nature le rôle d’une puissance naturelle. Les forces dont son corps est doué, bras et jambes, tête et mains, il les met en (…)

15 août 2003

L’opium du peuple

Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, la religion ne fait pas l’homme. Plus précisément : la religion est la conscience de soi et de sa valeur de l’homme qui ou bien ne s’est pas encore conquis (…)