147(1). EIV - Appendice - Chapitre 20
L’adulation est aussi un moyen de concorde, mais un moyen d’esclave, un moyen criminel et perfide. Aussi personne ne se laisse-t-il prendre à l’adulation que les orgueilleux, qui veulent être au premier rang et n’y atteignent pas.
EIV - Appendice - Chapitre 22
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Partie IV - Appendice
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Les principes que j’ai posés dans cette quatrième partie sur la manière de bien vivre ne sont point disposés dans un ordre qui permette de les embrasser d’un seul coup d’œil. Pour les faire sortir plus aisément les uns des autres, j’ai été obligé de les disperser un peu. Il devient donc nécessaire de les réunir ici dans un ordre régulier, en ramenant toute cette exposition à un certain nombre de chefs principaux.
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147(2). EIV - Appendice - Chapitre 21
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch -
147(1). EIV - Appendice - Chapitre 20
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Appendice - Chapitre 19
Quant au mariage, il est certain qu’il est d’accord avec la raison, à condition que le désir de l’union sexuelle ne vienne pas seulement du corps, mais qu’il soit accompagné du désir d’avoir des enfants et de les élever avec sagesse. J’ajoute encore cette condition, que l’amour des deux époux ait sa cause principale, non dans le sexe, mais dans la liberté de l’âme.
147(2). EIV - Appendice - Chapitre 21 -
EIV - Appendice - Chapitre 19
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 31 - scolie.
EIV - Appendice - Chapitre 18
L’amour libertin, en d’autres termes, la passion d’engendrer qui naît des sens, et en général tout amour qui a une autre cause que la liberté de l’âme, se change facilement en haine, à moins, ce qui est pire, qu’il ne devienne une sorte de délire ; et dans ce cas, la discorde lui sert d’aliment bien plus que la concorde (voyez le Scol. de la Propos. 31, part. 3).
147(1). EIV - Appendice - Chapitre 20 -
EIV - Appendice - Chapitre 18
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Proposition 70 - scolie ; EIV - Proposition 71 - scolie.
144(2). EIV - Appendice - Chapitre 17
Il faut encore, dans l’acceptation des bienfaits comme dans les témoignages de reconnaissance, prendre d’autres soins qui ont été indiqués au Scol. de la Propos. 70, et au Scol. de la Propos. 71.
EIV - Appendice - Chapitre 19 -
144(2). EIV - Appendice - Chapitre 17
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch144(1). EIV - Appendice - Chapitre 16
Les libéralités contribuent encore à se rendre mettre du cœur des hommes, surtout de ceux qui n’ont pas les moyens de se procurer les choses nécessaires à la vie. Cependant il est clair que donner secours à tous les indigents, cela va beaucoup au delà des forces et de l’intérêt d’un particulier, les richesses d’un particulier ne pouvant suffire à beaucoup près à tant de misères. De plus, le cercle où s’étendent les facultés d’un seul homme est (…) -
144(1). EIV - Appendice - Chapitre 16
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Appendice - Chapitre 15
Il y a une autre source de concorde entre les hommes, c’est la crainte ; mais elle exclut la confiance. Ajoutez que la crainte naît de l’impuissance de l’âme, et par conséquent ne se rapporte point à la vie raisonnable ; et j’en dis autant de la commisération, bien qu’elle semble quelquefois revêtir le caractère de la piété.
144(2). EIV - Appendice - Chapitre 17 -
EIV - Appendice - Chapitre 15
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Proposition 37 - scolie 1 et EIV - Proposition 37 - scolie 2 ; EIV - Proposition 46 - scolie ; EIV - Proposition 73 - scolie.
142(5). EIV - Appendice - Chapitre 14
Les actions qui produisent la concorde sont celles qui se rapportent à la justice, à l’équité, à l’honnêteté. Car, outre les choses injustes et iniques, les hommes ne peuvent supporter celles qui passent pour honteuses et viennent du mépris des mœurs établies dans la société. Quant au moyen d’unir les hommes par (…) -
142(5). EIV - Appendice - Chapitre 14
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch142(4). EIV - Appendice - Chapitre 13
Ainsi donc, bien que les hommes gouvernent le plus souvent toutes choses au gré de leurs passions, il y a plus d’avantages encore dans la société qui les unit qu’il ne s’y rencontre d’inconvénients. Et en conséquence, il est digne d’un homme sage de supporter avec calme les injustices de ses semblables et de montrer du zèle pour leur service, parce que tout cela sert à établir entre eux la concorde et l’amitié.
EIV - Appendice - Chapitre 15 -
142(4). EIV - Appendice - Chapitre 13
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchMais ici beaucoup d’art et de vigilance sont nécessaires. Car les hommes sont de nature très diverse (ceux qui vivent selon la raison étant en bien petit nombre), et malgré cette diversité, la plupart sont envieux et plus enclins à la vengeance qu’à la miséricorde. Vivre avec chacun d’eux en se conformant à son caractère, et toutefois être assez maître de soi pour ne pas partager les passions que l’on ménage, c’est l’ouvrage d’une force d’âme singulière. Ceux au contraire qui ne savent que (…)
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142(3). EIV - Appendice - Chapitre 12
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch142(2). EIV - Appendice - Chapitre 11
Il est utile aux hommes au plus haut degré de se lier entre eux et de former de tels noeuds que tous les hommes tendent de plus en plus à n’être qu’un seul homme ; en un mot, il est utile aux hommes de faire tout ce qui contribue à maintenir entre les hommes des relations d’amitié.
142(4). EIV - Appendice - Chapitre 13