EI - Proposition 16
Il suit de là que Dieu est la cause efficiente de toutes les choses qui peuvent tomber sous une intelligence infinie.
EI - Proposition 16 - corollaire 2
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Première Partie : "De Dieu"
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EI - Proposition 16 - corollaire 1
2 avril 2004, par Spinoza, Baruch -
EI - Proposition 16
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 15 - scolie
De la nécessité de la nature divine doivent découler une infinité de choses infiniment modifiées, c’est-à-dire tout ce qui peut tomber sous une intelligence infinie. Démonstration
Cette proposition doit être évidente pour quiconque voudra seulement remarquer que de la définition d’une chose quelconque, l’entendement conclut un certain nombre de propriétés qui en découlent nécessairement, c’est-à-dire qui résultent de l’essence même de la chose ; et ces (…) -
EI - Proposition 15 - scolie
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchOn se représente souvent Dieu comme formé, à l’image de l’homme, d’un corps et d’un esprit, et sujet, ainsi que l’homme, aux passions. Ce qui précède montre assez, sans doute, combien de telles pensées s’éloignent de la vraie connaissance de Dieu. Mais laissons cette sorte d’erreur ; car tous ceux qui ont un peu considéré la nature divine nient que Dieu soit corporel, et ils prouvent fort bien leur sentiment en disant que nous entendons par corps toute quantité qui a longueur, largeur et (…)
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EI - Proposition 15
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 14 - corollaire 2
Tout ce qui est, est en Dieu, et rien ne peut être, ni être conçu sans Dieu. Démonstration
Hors de Dieu (par la Propos. 14), il n’existe et on ne peut concevoir aucune substance, c’est-à-dire (par la Déf. 3) aucune chose qui existe en soi et se conçoive par soi. Or les modes (par la Déf. 5) ne peuvent être, ni être conçus sans la substance, et par conséquent ils ne peuvent être, ni être conçus que dans la seule nature divine. Mais si vous ôtez les (…) -
EI - Proposition 14 - corollaire 2
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 14 - corollaire 1
Il s’ensuit : 2° Que la chose étendue et la chose pensante sont des attributs de Dieu, ou (par l’Axiome 1) des affections des attributs de Dieu.
EI - Proposition 15 -
EI - Proposition 14 - corollaire 1
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 14
Il suit de là très-clairement : 1° Que Dieu est unique, c’est-à-dire (par la Déf. 6) qu’il n’existe dans la nature des choses qu’une seule substance, et qu’elle est absolument infinie, comme vous l’avons déjà affirmé dans le Scolie de la Proposition 10.
EI - Proposition 14 - corollaire 2 -
EI - Proposition 14
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 13 - scolie
Il ne peut exister et on ne peut concevoir aucune autre substance que Dieu. Démonstration
Dieu est l’être absolument infini duquel on ne peut exclure aucun attribut exprimant l’essence d’une substance (par la Déf. 6), et il existe nécessairement (par la Propos. 11). Si donc il existait une autre substance que Dieu, elle devrait se développer par quelqu’un des attributs de Dieu, et de cette façon, il y aurait deux substances de même attribut, ce qui est (…) -
EI - Proposition 13 - scolie
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 13 - corollaire
Que la substance soit indivisible, c’est ce que l’on comprendra plus simplement encore, par cela seul que la nature de la substance ne peut être connue que comme infinie, et qu’une partie de la substance ne signifie autre chose qu’une substance finie, ce qui implique évidemment contradiction (par la Propos. 8).
EI - Proposition 14 -
EI - Proposition 13 - corollaire
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 13
Il suit de ces principes qu’aucune substance, et conséquemment aucune substance corporelle, n’est divisible en tant que substance.
EI - Proposition 13 - scolie -
EI - Proposition 13
2 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 12
La substance absolument infinie est indivisible. Démonstration
Si elle était divisible, en effet, les parties qu’on obtiendrait en la divisant retiendraient ou non la nature de la substance absolument infinie. Dans le premier cas, on aurait plusieurs substances de même nature, ce qui est absurde (par la Propos. 5). Dans le second cas, la substance absolument infinie pourrait, comme on l’a vu plus haut, cesser d’être, ce qui est également absurde (par la Propos. (…)