EIV - Appendice - Chapitre 22
L’abjection a un faux air de piété et de religion. Mais tout opposée qu’elle soit à l’orgueil, rien est plus près d’un orgueilleux qu’un homme abject (voyez le Scol. de la Propos. 57).
L’abjection a un faux air de piété et de religion. Mais tout opposée qu’elle soit à l’orgueil, rien est plus près d’un orgueilleux qu’un homme abject (voyez le Scol. de la Propos. 57).
138(5). EIV - Appendice - Chapitre 5
Mais comme toutes ces choses dont l’homme est la cause efficiente sont nécessairement bonnes, il s’ensuit qu’il ne peut rien arriver de mal à l’homme, si ce n’est de la part des causes extérieures, (…)
138(4). EIV - Appendice - Chapitre 4
Il n’y a donc pas de vie raisonnable sans intelligence, et les choses ne sont bonnes qu’en tant qu’elles aident l’homme à vivre de cette vie de l’âme qui se définit par l’intelligence. Au contraire, les (…)
Il est donc utile au suprême degré, dans la vie, de perfectionner autant que possible l’entendement, la raison, et c’est en cela seul que consiste le souverain bonheur, la béatitude. La béatitude, en effet, n’est pas autre chose que cette (…)
138(2). EIV - Appendice - Chapitre 2
Nos actions, c’est-à-dire ces désirs qui se définissent par la puissance ou la raison de l’homme sont toujours bonnes. Les autres désirs peuvent être tantôt bons, tantôt mauvais.
138(4). EIV - (…)
Les désirs qui résultent de notre nature, de telle façon qu’ils puissent être conçus par elle seule, sont ceux qui se rapportent, à l’âme, en tant que constituée par des idées adéquates ; les autres désirs ne se rapportent à l’âme qu’en tant (…)
EIV - Proposition 73 - scolie
Tous les efforts de l’homme, tous ses désirs, résultent de la nécessité de sa nature propre, de façon qu’ils peuvent être conçus soit par elle seule, comme par leur cause prochaine, soit en tant qu’elle est (…)
138(6). EIV - Appendice - Chapitre 6
Et il ne peut pas se faire que l’homme ne soit pas une partie de la nature et ne suive pas l’ordre universel ; mais si l’homme trouve autour de soi des individus conformes à sa nature, sa puissance s’en (…)
Tout ce que nous jugeons mauvais dans la nature des choses, c’est-à-dire capable de nous empêcher d’exister et de jouir de la vie raisonnable, nous avons le droit de nous en délivrer par la voie qui nous paraît la plus sûre, et au contraire, tout (…)
EIV- Appendice - Chapitre 7.
Rien ne peut être plus conforme à la nature d’une chose que les autres individus de la même espèce, et conséquemment (par le Chap. 7) rien ne peut être plus utile à l’homme pour conserver son être et jouir de la (…)
142(4). EIV - Appendice - Chapitre 13
Ainsi donc, bien que les hommes gouvernent le plus souvent toutes choses au gré de leurs passions, il y a plus d’avantages encore dans la société qui les unit qu’il ne s’y rencontre d’inconvénients. Et (…)