EIV - Proposition 56 - corollaire
Il suit très clairement de cette proposition que les hommes orgueilleux
et abjects sont entre les hommes les plus sujets aux passions.
Il suit très clairement de cette proposition que les hommes orgueilleux
et abjects sont entre les hommes les plus sujets aux passions.
EI - Proposition 16.
EII - Définition 6.
Ce que j’appelle esclavage, c’est l’impuissance de l’homme à gouverner et à contenir ses passions. L’homme en effet, quand il est soumis à ses passions, ne se possède plus ; livré à la fortune, il (…)
EIV - Préface (voyez la remarque suivant la définition 2).
EIV - Préface
J’entendrai par bien ce que nous savons certainement nous être utile.
EIV - Définition 2
EIV - Préface.
EIV - Définition 1
Par mal, j’entendrai ce que nous savons certainement faire obstacle à ce que nous possédions un certain bien.
Sur ces deux points, voyez la fin de la préface qui précède.
EIV - Définition 3
EIV - Définition 2
J’appelle les choses particulières contingentes, en tant que nous ne trouvons rien en elles, à ne considérer que leur essence, qui pose nécessairement leur existence ou qui nécessairement l’exclue.
EIV - Définition 4
EI - Proposition 33 - scolie 1.
EIV - Définition 3
Ces mêmes choses particulières, je les appelle possibles, en tant que nous ignorons, à ne regarder que les causes qui les doivent produire, si ces causes sont déterminées à les (…)
EIV - Définition 4
J’entendrai, dans ce qui va suivre, par passions contraires, celles qui poussent l’homme en divers sens, quoiqu’elles soient du même genre ; par exemple, la prodigalité et l’avarice, qui sont deux espèces d’amour, et ne (…)
EIII - Proposition 18 - scolie 1 et EIII - Proposition 18 - scolie 2.
J’ai expliqué, dans les Scolies 1 et 2 de la Propos. 18, part. 3, auxquels je renvoie, ce que j’entendrais par une passion pour une chose future, présente ou passée. (…)
EIV - Définition 6
La fin pour laquelle nous faisons une action, c’est pour moi l’appétit.
EIV - Définition 8
EIII - Proposition 7.
EIV - Définition 7
Vertu et puissance, à mes yeux, c’est tout un ; en d’autres termes (par la Propos. 7, part. 3), la vertu, c’est l’essence même ou la nature de l’homme, en tant qu’il a la puissance de faire (…)
EIV - Définition 8
Il n’existe dans la nature aucune chose particulière qui n’ait au-dessus d’elle une autre chose plus puissante et plus forte. De sorte que, une chose particulière étant donnée, une autre plus puissante est également (…)