La force d’une passion ou d’une affection peut surpasser les autres actions ou la puissance de l’homme, de façon que cette affection s’attache obstinément à lui.
La force et l’accroissement des passions et le degré où elles persévèrent dans l’existence se mesurent par le rapport de la puissance des causes extérieures avec la nôtre (par la Propos. précéd.), et par conséquent (en vertu de la Propos. 3, part 4) elles peuvent surpasser la puissance de l’homme, etc. C. Q. F. D.
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Dernière mise à jour : mardi 31 janvier 2023