Tout ce que nous connaissons d’une connaissance du troisième genre nous fait éprouver un sentiment de joie accompagné de l’idée de Dieu comme cause de notre joie.
De cette espèce de connaissance naît pour l’âme la paix la plus parfaite, c’est-à-dire (par la Déf. 25 des passions) la plus parfaite joie qu’elle puisse ressentir, et cette joie de l’âme est accompagnée de l’idée de soi-même (par la Propos. 27), et partant de l’idée de Dieu à titre de cause (par la Propos. 30). C. Q. F. D.
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Dernière mise à jour : mardi 31 janvier 2023