142(1). EIV - Appendice - Chapitre 10
Ce n’est point toutefois la force des armes qui dompte les cœurs, c’est l’amour et la générosité.
142(3). EIV - Appendice - Chapitre 12
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Partie IV - Appendice
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Les principes que j’ai posés dans cette quatrième partie sur la manière de bien vivre ne sont point disposés dans un ordre qui permette de les embrasser d’un seul coup d’œil. Pour les faire sortir plus aisément les uns des autres, j’ai été obligé de les disperser un peu. Il devient donc nécessaire de les réunir ici dans un ordre régulier, en ramenant toute cette exposition à un certain nombre de chefs principaux.
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142(2). EIV - Appendice - Chapitre 11
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch -
142(1). EIV - Appendice - Chapitre 10
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Appendice - Chapitre 9
Les hommes, en tant qu’ils sont animés les uns pour les autres d’un sentiment d’envie ou de passion haineuse, sont contraires les uns aux autres, et ils sont d’autant plus à craindre qu’ils ont plus de puissance que les autres individus de la nature.
142(2). EIV - Appendice - Chapitre 11 -
EIV - Appendice - Chapitre 9
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV- Appendice - Chapitre 7.
EIV - Appendice - Chapitre 8
Rien ne peut être plus conforme à la nature d’une chose que les autres individus de la même espèce, et conséquemment (par le Chap. 7) rien ne peut être plus utile à l’homme pour conserver son être et jouir de la vie raisonnable que l’homme lui-même quand la raison le conduit. De plus, comme nous ne connaissons rien, entre les choses particulières, qui soit préférable à l’homme que la raison conduit, personne ne peut mieux (…) -
EIV - Appendice - Chapitre 8
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV- Appendice - Chapitre 7
Tout ce que nous jugeons mauvais dans la nature des choses, c’est-à-dire capable de nous empêcher d’exister et de jouir de la vie raisonnable, nous avons le droit de nous en délivrer par la voie qui nous paraît la plus sûre, et au contraire, tout ce que nous jugeons bon, c’est-à-dire utile à la conservation de notre être et capable de nous procurer la vie raisonnable, nous avons le droit de le prendre pour notre usage et de nous en servir de toutes manières (…) -
EIV- Appendice - Chapitre 7
29 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(6). EIV - Appendice - Chapitre 6
Et il ne peut pas se faire que l’homme ne soit pas une partie de la nature et ne suive pas l’ordre universel ; mais si l’homme trouve autour de soi des individus conformes à sa nature, sa puissance s’en trouve favorisée et entretenue. Si, au contraire, il est en rapport avec des individus contraires à sa nature, il est impossible que l’équilibre s’établisse sans une grande perturbation.
EIV - Appendice - Chapitre 8 -
138(6). EIV - Appendice - Chapitre 6
28 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(5). EIV - Appendice - Chapitre 5
Mais comme toutes ces choses dont l’homme est la cause efficiente sont nécessairement bonnes, il s’ensuit qu’il ne peut rien arriver de mal à l’homme, si ce n’est de la part des causes extérieures, c’est-à-dire en tant que l’homme est une partie de la nature entière, dont la nature humaine doit suivre les lois, étant forcée de s’y conformer en une infinité de façons.
EIV- Appendice - Chapitre 7 -
138(5). EIV - Appendice - Chapitre 5
28 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(4). EIV - Appendice - Chapitre 4
Il n’y a donc pas de vie raisonnable sans intelligence, et les choses ne sont bonnes qu’en tant qu’elles aident l’homme à vivre de cette vie de l’âme qui se définit par l’intelligence. Au contraire, les choses qui empêchent l’homme de perfectionner la raison et de jouir de la vie raisonnable, ce sont les seules que j’appelle mauvaises.
138(6). EIV - Appendice - Chapitre 6 -
138(4). EIV - Appendice - Chapitre 4
28 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(3). EIV - Appendice - Chapitre 3
Il est donc utile au suprême degré, dans la vie, de perfectionner autant que possible l’entendement, la raison, et c’est en cela seul que consiste le souverain bonheur, la béatitude. La béatitude, en effet, n’est pas autre chose que cette tranquillité de l’âme qui naît de la connaissance intuitive de Dieu, et la perfection de l’entendement consiste à comprendre Dieu, les attributs de Dieu et les actions qui résultent de la nécessité de la nature (…) -
138(3). EIV - Appendice - Chapitre 3
28 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(2). EIV - Appendice - Chapitre 2
Nos actions, c’est-à-dire ces désirs qui se définissent par la puissance ou la raison de l’homme sont toujours bonnes. Les autres désirs peuvent être tantôt bons, tantôt mauvais.
138(4). EIV - Appendice - Chapitre 4 -
138(2). EIV - Appendice - Chapitre 2
28 juin 2004, par Spinoza, Baruch138(1). EIV - Appendice - Chapitre 1
Les désirs qui résultent de notre nature, de telle façon qu’ils puissent être conçus par elle seule, sont ceux qui se rapportent, à l’âme, en tant que constituée par des idées adéquates ; les autres désirs ne se rapportent à l’âme qu’en tant qu’elle conçoit les choses d’une façon inadéquate, et la force et l’accroissement de ces désirs ne doivent point être déterminés par la puissance de l’homme, mais par celle des choses extérieures. On a donc (…)