EII - Proposition 16.
EIII - Définition 1 ; EIII - Définition 2 ; EIII - Proposition 7.
EIV - Proposition 4 - corollaire
La force et l’accroissement de telle ou telle passion et le degré où elle persévère dans l’existence ne se mesurent point par la puissance avec laquelle nous faisons effort pour persévérer dans l’existence, mais par le rapport de la puissance de telle ou telle cause extérieure avec notre puissance propre. Démonstration
L’essence de telle ou telle passion ne (…)
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Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects"
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EIV - Proposition 5
26 mai 2004, par Spinoza, Baruch -
EIV - Proposition 4 - corollaire
26 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Proposition 4
Il suit de là que l’homme est nécessairement toujours soumis aux passions, qu’il suit l’ordre commun de la nature et y obéit et s’y accommode, autant que la nature des choses l’exige.
EIV - Proposition 5 -
EIV - Proposition 4
26 mai 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 16 ; EI - Proposition 21 ; EI - Proposition 24 - corollaire ; EI - Proposition 34.
EIII - Proposition 4 ; EIII - Proposition 6 ; EIII - Proposition 7.
EIV - Proposition 3.
Il est impossible que l’homme ne soit pas une partie de la nature, et qu’il ne puisse souffrir d’autres changements que ceux qui se peuvent concevoir par sa seule nature et dont il est la cause adéquate.
Démonstration
La puissance par laquelle les choses particulières, et partant l’homme, (…) -
EIV - Proposition 3
26 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Axiome.
(Cette démonstration est universelle, selon la dem. de la prop. 4).
EIV - Proposition 2
La force, par laquelle l’homme persévère dans l’existence, est limitée, et la puissance des causes extérieures la surpasse infiniment. Démonstration
Cela résulte évidemment de l’axiome qui précède. Car l’homme étant donné, quelque chose de plus puissant est aussi donné ; appelons-le A : A lui-même étant donné, quelque chose de plus puissant, B, est aussi donné, et de même à (…) -
EIV - Proposition 2
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définition 1 ; EIII - Définition 2.
EIV - Proposition 1 - scolie
Nous pâtissons en tant seulement que nous sommes une partie de la nature, laquelle partie ne se peut concevoir indépendamment des autres. Démonstration
On dit que nous pâtissons, quand il survient en nous quelque chose dont nous ne sommes la cause que partiellement (par la Déf. 2, part. 3), en d’autres termes (par la Déf. 1, part. 3), quelque chose qui ne se peut déduire des seules lois de notre nature. Nous (…) -
EIV - Proposition 1 - scolie
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 16 - corollaire 2 ; EII - Proposition 17 ; EII - Proposition 35 - scolie.
Cette proposition se conçoit plus clairement encore par le Coroll. 2 de la Propos. 16, part. 2. Car une image, c’est une idée qui marque la constitution présente du corps humain bien plus que la nature des corps extérieurs ; et cela, non pas d’une manière distincte, mais avec confusion. Voilà l’origine de l’erreur. Lorsque, par exemple, nous regardons le soleil, notre imagination nous dit qu’il (…) -
EIV - Proposition 1
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 32 ; EII - Proposition 33 ; EII - Proposition 35.
EIII - Proposition 4.
EIV - Axiome
Rien de ce qu’une idée fausse contient de positif n’est détruit par la présence du vrai, en tant que vrai. Démonstration
L’erreur consiste dans la seule privation de connaissance qu’enveloppent les idées inadéquates (par la Propos. 35, part. 2), et il n’y a rien de positif dans ces idées qui les fasse appeler fausses (par la Propos. 33, part. 2). Tout au contraire, en tant (…) -
EIV - Axiome
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Définition 8
Il n’existe dans la nature aucune chose particulière qui n’ait au-dessus d’elle une autre chose plus puissante et plus forte. De sorte que, une chose particulière étant donnée, une autre plus puissante est également donnée, laquelle peut détruire la première.
EIV - Proposition 1 -
EIV - Définition 8
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 7.
EIV - Définition 7
Vertu et puissance, à mes yeux, c’est tout un ; en d’autres termes (par la Propos. 7, part. 3), la vertu, c’est l’essence même ou la nature de l’homme, en tant qu’il a la puissance de faire certaines choses qui se peuvent concevoir par les seules lois de sa nature elle-même.
EIV - Axiome -
EIV - Définition 7
23 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Définition 6
La fin pour laquelle nous faisons une action, c’est pour moi l’appétit.
EIV - Définition 8