Accueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects" > EIV - Proposition 64 - corollaire

EIV - Proposition 64 - corollaire

lundi 28 juin 2004, par Spinoza, Baruch




Il suit de là que si l’âme humaine n’avait que des idées adéquates, elle ne se formerait aucune notion du mal.


Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message