EII - Proposition 40 - scolie 2 ; EII - Proposition 41 ; EII - Proposition 43 (et EII - Proposition 43 - scolie).
EIV - Proposition 26.
EIV - Proposition 26
Rien ne nous est connu comme certainement bon ou mauvais que ce qui nous conduit à comprendre véritablement les choses, ou ce qui peut nous en éloigner. Démonstration
L’âme, en tant qu’elle use de la raison, ne désire rien autre chose que de comprendre, et ne considère comme utile pour elle que ce qui la conduit à ce but (…)
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Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects"
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EIV - Proposition 27
16 juin 2004, par Spinoza, Baruch -
EIV - Proposition 26
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 40 (et EII - Proposition 40 - scolie 2).
EIII - Proposition 6 ; EIII - Proposition 7 ; EIII - Proposition 9 - scolie.
EIV - Définition 1 ; EIV - Proposition 22 - corollaire ; EIV - Proposition 25.
Nous ne tendons par la raison à rien autre chose qu’à comprendre, et l’âme, en tant qu’elle se sert de la raison, ne juge utile pour elle que ce qui la conduit à comprendre.
Démonstration
L’effort d’un être pour se conserver n’est rien autre chose que son essence (…) -
EIV - Proposition 24
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 3.
EIV - Définition 8 ; EIV - Proposition 22 - corollaire.
EIV - Proposition 23
Agir absolument par vertu, ce n’est autre chose que suivre la raison dans nos actions, dans notre vie, dans la conservation de notre être (trois choses qui n’en font qu’une), et tout cela d’après la règle de l’intérêt propre de chacun. Démonstration
Agir absolument par vertu, ce n’est autre chose (par la Déf. 8) qu’agir d’après les propres lois de sa nature. Or nous n’agissons de (…) -
EIV - Proposition 23
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définition 1 ; EIII - Définition 2 ; EIII - Proposition 1.
EIV - Définition 8.
EIV - Proposition 22 - corollaire
Quand l’homme est déterminé à faire quelque action parce qu’il a des idées inadéquates, on ne peut dire d’une manière absolue qu’il agisse par vertu. Cela ne se peut dire qu’en tant que l’homme est déterminé par des idées claires. Démonstration
En tant qu’il est déterminé à l’action parce qu’il a des idées inadéquates, l’homme pâtit (par la Propos. 1, part. (…) -
EIV - Proposition 22 - corollaire
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIV - Proposition 21 ; EIV - Proposition 22.
EIV - Proposition 22
L’effort d’un être pour se conserver est le premier et unique fondement de la vertu. Car aucun autre principe n’est antérieur à celui-là (par la Propos. précéd.), et sans lui (par la Propos. 21) aucune vertu ne se peut concevoir.
EIV - Proposition 23 -
EIV - Proposition 22
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 7.
EIV - Définition 8.
EIV - Proposition 21
On ne peut concevoir aucune vertu antérieure à celle qui vient d’être définie (savoir, l’effort de chacun pour se conserver soi-même). Démonstration
L’effort d’un être pour se conserver, c’est son essence même (par la Prop. 7, part. 3). Si donc il pouvait y avoir une vertu antérieure à celle-là, il faudrait concevoir l’essence de cet être comme antérieure à soi-même (par la Déf. 8), ce qui est évidemment absurde. (…) -
EIV - Proposition 21
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 7 ; EIII - Définitions des affects - 01.
EIV - Proposition 20 - scolie
Nul ne peut désirer d’être heureux, de bien agir et de bien vivre, qui ne désire en même temps d’être, d’agir et de vivre, c’est-à-dire d’exister actuellement. Démonstration
La démonstration de cette proposition, ou, pour mieux dire, la chose elle-même est de soi évidente ; et elle résulte aussi de la Déf. du désir. En effet (par la Déf.1 des pass.), le désir de bien vivre ou de vivre (…) -
EIV - Proposition 20 - scolie
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 10.
Personne ne cesse donc de désirer ce qui lui est utile et ne néglige la conservation de son être que vaincu par les causes extérieures qui sont contraires à sa nature. Personne n’est donc déterminé par la nécessite de sa nature, mais seulement par les causes extérieures, à se priver d’aliments, ou à se donner lui-même la mort. Ainsi, celui qui tire par hasard son épée et à qui un autre saisit la main en le forçant de se frapper lui-même au coeur, celui-là se tue (…) -
EIV - Proposition 20
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 4 ; EIII - Proposition 6 ; EIII - Proposition 7.
EIV - Définition 8.
EIV - Proposition19
Plus chacun s’efforce et plus il est capable de chercher ce qui lui est utile, c’est-à-dire de conserver son être, plus il a de vertu ; au contraire, en tant qu’il néglige de conserver ce qui lui est utile, c’est-à-dire son être, il marque son impuissance. Démonstration
La vertu, c’est la puissance de l’homme elle-même, laquelle (en vertu de la Déf. 8) se définit par la (…) -
EIV - Proposition19
9 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 9 - scolie ; EIII - Proposition 28 ; EIII - Définitions des affects - 01.
EIV - Proposition 8.
EIV - Proposition 18 - scolie
Chacun désire ou repousse nécessairement, d’après les lois de sa nature, ce qu’il juge bon ou mauvais. Démonstration
La connaissance de ce qui est bon ou mauvais, c’est la passion même de la joie ou de la tristesse, en tant que nous en avons conscience (par la Propos. 8), et conséquemment (par la Propos. 28, part. 3) ; chacun désire (…)