EII - Proposition 16 - corollaire 2 ; EII - Proposition 18.
EIII - Définition 3.
EIII - Proposition 13 - scolie
Si l’âme a été une fois affectée tout ensemble de deux passions, aussitôt que dans la suite elle sera affectée de l’une d’elles, elle sera aussi affectée de l’autre. Démonstration
Si le corps humain a été une fois modifié par deux autres corps, dès que l’âme viendra par la suite à imaginer l’un d’entre eux, aussitôt elle se souviendra de l’autre (par la Propos. 18, (…)
Accueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Troisième Partie : "De l’origine et de la nature des affects"
Troisième Partie : "De l’origine et de la nature des affects"
Retrouvez maintenant l’HyperSpinoza ici :
HyperSpinoza
-
EIII - Proposition 14
6 mai 2004, par Spinoza, Baruch -
EIII - Proposition 13 - scolie
6 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 13 - corollaire
Nous concevons aussi très-clairement par ce qui précède en quoi consistent l’amour et la haine. L’amour n’est autre chose que la joie, accompagnée de l’idée d’une cause extérieure ; et la haine n’est autre chose que la tristesse, accompagnée de l’idée d’une cause extérieure. Nous voyons également que celui qui aime s’efforce nécessairement de se rendre présente et de conserver la chose qu’il aime ; et au contraire, celui qui hait s’efforce d’écarter (…) -
EIII - Proposition 13 - corollaire
6 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 13
Il suit de là que l’âme répugne à imaginer les choses qui diminuent ou empêchent sa puissance et celle du corps.
EIII - Proposition 13 - scolie -
EIII - Proposition 13
6 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 17.
EIII - Proposition 9 ; EIII - Proposition 12.
EIII - Proposition 12
Quand l’âme imagine des choses qui diminuent la puissance d’agir du corps, elle s’efforce, autant qu’il est en elle, de rappeler d’autres choses qui excluent l’existence des premières. Démonstration
Tant que l’âme imagine des choses qui diminuent ou empêchent la puissance d’agir du corps, la puissance de l’âme et du corps est diminuée ou empêchée (comme nous l’avons démontré dans la (…) -
EIII - Proposition 12
6 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 7 ; EII - Proposition 17 (et EII - Proposition 17 - scolie).
EIII - Postulat 1 ; EIII - Proposition 6 ; EIII - Proposition 9 ; EIII - Proposition 11.
L’âme s’efforce, autant qu’il est en elle, d’imaginer les choses qui augmentent ou favorisent ; la puissance d’agir du corps.
Démonstration
Tant que le corps humain est affecté d’une modification qui enveloppe la nature de quelque corps étranger, l’âme humaine aperçoit ce corps étranger comme présent (par la (…) -
EIII - Proposition 11 - scolie
4 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 6 ; EII - Proposition 8 - corollaire et EII - Proposition 8 - scolie ; EII - Proposition 17 (et EII - Proposition 17 - scolie) ; EII - Proposition 18 (et EII - Proposition 18 - scolie).
EIII - Proposition 4 ; EIII - Proposition 9 - scolie ; EIII - Proposition 10.
Nous voyons que l’âme peut souffrir un grand nombre de changements, et passer tour à tour d’une certaine Perfection à une perfection plus grande ou plus petite ; et ce sont ces diverses passions qui nous (…) -
EIII - Proposition 11
4 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 7 ; EII - Proposition 14.
EIII - Proposition 10
Si quelque chose augmente ou diminue, favorise ou empêche la puissance d’agir de notre corps, l’idée de cette chose augmente ou diminue, favorise ou empêche la puissance de penser de notre âme. Démonstration
Cette proposition résulte évidemment de la Propos. 7, partie 2, et aussi de la Propos. 14, même partie.
EIII - Proposition 11 - scolie -
EIII - Proposition 10
4 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 9 - corollaire ; EII - Proposition 11 ; EII - Proposition 13.
EIII - Proposition 5 ; EIII - Proposition 7.
EIII - Proposition 9 - scolie
Une idée qui exclut l’existence de notre corps ne se peut rencontrer dans notre âme ; elle lui est contraire. Démonstration
Tout ce qui peut détruire notre corps ne se peut rencontrer en lui (par la Propos. 5) ; par conséquent l’idée d’une telle chose ne se peut non plus rencontrer en Dieu, en tant qu’il a l’idée de notre (…) -
EIII - Proposition 9
4 mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 23.
EIII - Proposition 3 ; EIII - Proposition 7 ; EIII - Proposition 8.
EIII - Proposition 8
L’âme, soit en tant qu’elle a des idées claires et distinctes, soit en tant qu’elle en a de confuses, s’efforce de persévérer indéfiniment dans son être, et a conscience de cet effort. Démonstration
L’essence de l’âme est constituée par des idées adéquates et inadéquates (comme nous l’avons montré dans la Propos. 3), et conséquemment (par la Propos. 7) elle tend à (…) -
EIII - Proposition 8
2 mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 4.
EIII - Proposition 7
L’effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n’enveloppe aucun temps fini, mais un temps indéfini. Démonstration
Si, en effet, il enveloppait un temps limité, qui déterminât la durée de la chose, il s’ensuivrait de cette puissance même par laquelle la chose existe, qu’après un certain temps elle ne pourrait plus exister et devrait être détruite. Or, cela est absurde (par la Propos. 4) ; donc l’effort par lequel une (…)